Remerciements
Etre amateur de chants estudiantins ne permet pas pour autant de rédiger un tel ouvrage en un jour, ni même en un mois et surtout pas tout seul !
Nous tenons absolument, après ces nombreuses heures passées à la tâche à remercier publiquement les nombreuses mains qui ont participé à la réalisation de ce « Bitu Magnifique » nouvelle mouture.
Gentiment, Monsieur l’abbé Gabriel Ringlet, Vice-Recteur aux affaires étudiantes de l’UCL a accepté de préfacer l’ouvrage… preuve s’il en est que la vie folklorique estudiantine est étroitement liée au parcours académique de ces mêmes étudiants qui, le soir venu, s’en vont chantant quelques refrains...
Ho ! Oui, il est certain que sans nos prédécesseurs, les auteurs du « Petit Bitu » (Michel « Mamelle » Henry de Generet et Pierre-Noël « Pernod » Boonen), qui ont permis à de nombreuses générations d’étudiants de pratiquer le chant, ce recueil n’aurait pas vu le jour. Nous les en remercions très sincèrement.
Il nous fallait quelques illustrations bien choisies ! Merci à Denis Van Pottelberghe, tu t’es surpassé, comme d’habitude ! Merci aussi à Sébastien Kruk pour tes calligraphies ainsi que pour tes nombreux commentaires de chants. Et parce qu’il est parfois bien gai de pouvoir chanter dans le ton, merci à Arnaud Goblet et Stéphane Adriaenssens pour la retranscription des partitions... Hugues Haubruge, ton aide fut précieuse dans la composition de cet ouvrage. Quant à toi, Frédéric Donckels, chapeau bas pour la couverture !
Et s’il subsiste quelques erreurs, nous nous en excusons, mais il y en aurait eu bien plus sans l’aide de nos nombreux lecteurs ! Merci à la « Commission aux publications » de l’ASBO, merci pour les « tâches » faites dans l’ombre, merci à tous les anonymes qui, de près ou de loin, ont participé au projet. Que tous trouvent ici les justes remerciements de leur travail, sans eux rien n’aurait été possible.
Ne m’en veuillez pas, vous tous qui m’avez été d’une aide si précieuse, si je remercie plus particulièrement certaines personnes… Robert Pallard et Marc Quinet… sans votre passion des chants « paillards », je ne l’aurais sans doute jamais eue non plus ! Et merci enfin à toi, Meule, tu as encore été présent quand il le fallait.
Ut Semper Vivat Crescat Floreatque Sanctae Barbae Ordo !
Thomas Quinet |